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    Le  Groupe  Africdossier  rend  hommage  au  courage  d’une  femme,  celle  qui  a  été  présente  en  Afrique,  précisement,  en  Egypte  pour  lutter  et  combattre  la  pauvreté  parmi  les  pauvres  de  caire.  Son  vœu :  « finir  sa  vie  en  Egypte  parmi  les  chiffonniers  de  Caire »  n’a  pas  été  respecté  par  sa  congrégation,  qui  l’avait  rappelée  en  France.  Sa  mort  est  un  deuil  pour  l’Afrique  en  particulier  et  pour  l’Egypte  en  général,  Que  son  âme  se  repose  en  paix. <o:p></o:p>

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    1  SIECLE  D’EXISTENCE  POUR  1/5  AVEC  LES CHIFFONIERS  DE  CAIRE<o:p></o:p>

    Soeur Emmanuelle, religieuse franco-belge ayant dédié sa vie aux plus pauvres, est décédée dans la nuit de dimanche à lundi moins d'un mois avant de devenir centenaire, a annoncé dans un communiqué Trao Nguyen, président d'Asmae-Association Soeur Emmanuelle.

    Soeur Emmanuelle, de son vrai nom Madeleine Cinquin, s'est éteinte "dans son sommeil" dans la nuit de dimanche à lundi à l'âge de 99 ans dans la maison de retraite de Callian (Var) où elle vivait depuis 1993, a indiqué à l'AFP une responsable de l'association.<o:p></o:p>

     

    « Fatiguée », mais ne souffrant « d'aucune maladie particulière » selon la même source, Soeur Emmanuelle, connue pour son franc-parler, sa silhouette humble et son visage malicieux qui hantaient les plateaux de télévision et les bureaux des puissants, allait célébrer son centième anniversaire le 16 novembre 2008.<o:p></o:p>

    Soeur Emmanuelle, qui avait partagé pendant plus de 20 ans la vie des chiffonniers du Caire, a mené une lutte acharnée contre la pauvreté avec une vitalité qui lui a valu une popularité durable.<o:p></o:p>

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    AUTOBIOGRAPHIE<o:p></o:p>

     

    Née le 16 novembre 1908 à Bruxelles dans un foyer aisé franco-belge, rien ne prédestinait Madeleine Cinquin à devenir selon ses propres termes « une rebelle », un alter ego féminin de l'Abbé Pierre, « ami » et « maître à penser ».

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    Mais à 23 ans, le 10 mai 1931, la jeune bourgeoise, de mère chrétienne et de père juif, avait renoncé à une vie confortable et prononcé ses voeux de religieuse dans la congrégation Notre-Dame de Sion, privilégiant les liens avec l'enseignement et le judaïsme.

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    Sous le nom d'Emmanuelle (Dieu est avec nous), elle avait enseigné en Turquie, puis en Tunisie avant de partir pour l'Egypte. Dans ce dernier pays pour lequel elle a un véritable coup de foudre, à 62 ans, elle obtient enfin le feu vert de sa congrégation pour vivre parmi les plus pauvres, les chiffonniers du Caire.

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    Rappelée par sa congrégation en 1993, à l'âge de 85 ans, alors qu'elle souhaitait finir sa vie en Egypte, Soeur Emmanuelle a passé ses dernières années dans le Var.<o:p></o:p>

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    SON  MESSAGE  A  L’HUMANITE<o:p></o:p>

    « Sans partage, sans solidarité, on ne peut faire progresser l'humanité », insistait Soeur Emmanuelle. « Il faut donc s'acharner ».<o:p></o:p>

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    Résumé par :  Appolinaire  Noël  KOULAMA<o:p></o:p>

    Publié  le :  20  octobre  2008<o:p></o:p>

    Rubrique :  Hommage<o:p></o:p>

    Source :  http://africdossier.oldiblog.com

     

     

     

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