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LE CONGO-BRAZZAVILLE EPINGLE PAR LA RESISTANCE INDEPENDANTISTE CABINDAISE.
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Chers amis et Membre du groupe Africdossier,<o:p></o:p>
Dans la réussite de son coup d’état, et dans sa terreur contre les populations du Pool et des pays du Niari, Sassou NGuesso avait utilisé les services de l’armée angolaise contre son propre peuple, aujourd’hui, tout laisse à penser, que Sassou NGuesso renvoie l’ascenseur en aidant l’armée angolaise: Notamment un accord a été signé entre ces 2 pays pour des opérations militaires et des patrouilles communes, le long de la frontière entre le Cabinda et le Congo-Brazzaville ce qui réduit la mobilité des indépendantistes cabindais et pour extrapoler, nous pouvons mettre l'hypothèse, ce qui pourra réduire la mobilité d'un soulèvement populaire le long de la frontière avec le Cabinda. Pour vous votre propre analyse, je vous invite, à lire, l’information de la résistance cabindaise, qu’elle vient de nous envoyer depuis, le bas-congo en RDC via Internet. <o:p></o:p>
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Joäo-Maria Manuel Gomes, plus connu par son nom de guerre « Commandant Maymona », un opérationnel de la résistance au Cabinda, a été exécuté à la Catane, la nuit du 25 septembre en République du Congo-Brazzaville par un commando des Forces Armées Angolaises (FAA) a t-on appris des sources proches du mouvement indépendantistes.<o:p></o:p>
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Dans la nuit du 25 septembre 2008, un commando des FAA, composé d’un ex-élément de l’ancienne guérilla (FLEC Rénové), connue actuellement sous le nom de « Tchicuco », et deux militaires angolais ont pénétré à l’intérieur de la république du Congo-Brazzaville, dans une résidence située vers le village de NZassi dans la région du Kouilou, et ils ont exécuté à la « Catane », le Commandant adjoint des opérations des Forces Armées Congolaises Unifiées (FAC Unifiée) de la zone centre et du sud du Cabinda, Joäo-Maria Manuel Gomes, alias « Maymona », a informé une source de la résistance depuis le territoire du Cabinda.<o:p></o:p>
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Le « Commandant Maymona » 48 ans, appartenait à un groupe de guérilleros, ayant trouvé refuge dans le Kouilou et détenus par les autorités congolaises à Pointe-Noire, à la demande de l’Angola. Soumis par une intervention chirurgicale par les médecins à Pointe-Noire, pour l’appendicite, pendant sa période de convalescence, le détenu « Commandant Maymona » va demander d’être transféré dans le village de NZassi dans la région du Kouilou, près de la frontière de Massabi, et c’est de là, qu’il a été exécuté par le commando angolais.<o:p></o:p>
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Selon la source de la résistance depuis le Cabinda, la sécurité congolaise aurait facilité l’opération du commanda angolais sur leur territoire national. Cette exécution apparaît après le début de la coopération militaire entre la républiques du Congo-Brazzaville et de l’Angola avec des patrouilles et des opérations militaires mixtes, le long de toute la frontière séparant le Congo-Brazzaville et le Cabinda.<o:p></o:p>
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Des témoins affirment que plusieurs femmes sont régulièrement violées, dans les villages frontaliers du Cabinda et du Congo-Brazzaville, par ces patrouilles mixées.<o:p></o:p>
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Selon une autre source de la résistance cabindaise de Massabi au Cabinda, les responsables de l’assassinat du « Commandant Maymona » formant le commandant angolais en république du Congo-Brazzaville, sont des cabindais, qui ont intégrés les Forces Armées Angolaise (FAA) au terme de l’accord de paix signé par l’Angola et l’ancien résistant Antonio Bento Bembé.<o:p></o:p>
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Selon cette même source de la résistance, de Massabi au Cabinda, les hommes opérationnels du commando qui ont éliminé « Maymona », en République du Congo-Brazzaville, ont pénétré dans la nuit du 25 septembre 2008, avec l’appui de « Saddam », un officier de la sécurité congolaise (DRM) qui participe aux patrouilles mixtes. <o:p></o:p>
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Le commando opérationnel qui était envoyé dans la région du Kouilou, était totalement constitué des cabindais : José Tchitembo Bissafi, Policarpo Mouélé Moulélé, Pédro Chicaya Nlembiano, Augusto Wanga et Francisco Mabiala, tous des transfuges des accords de pais signé entre l’Angola et l’ancien résistant Antonio Bembé. Ils sont tous, originaires des villages proches des villages de la région du Kouilou au Congo-Brazzaville, à l’exception de Pédro Chicaya Nlembiano.<o:p></o:p>
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Selon les informations recueillies par la sécurité FLEC vers NZassi en république du Congo-Brazzaville, du côté du commando angolais, cette opération était conduite par José Tchitembo Bissafi, l’home au 4*4 qui circule à peine entre Luanda, Cabinda et Pointe-Noire.<o:p></o:p>
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Par cette opération et cet assassinat du Commandant adjoint des opérations militaires des FLEC, les Forces Armées Angolaises (FAA), prétendent réduirent les activités de la guérilla cabindaise.<o:p></o:p>
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Les obsèques funèbres du « Commandant Maymona » se sont déroulé Samedi 27 septembre 2008, dans la région du Kouilou, au Congo-Brazzaville, non loin du village NZassi, où, il avait été exécuté.
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Information recueillie par : Appolinaire Noël KOULAMA<o:p></o:p>
Publié le : 03 octobre 2008<o:p></o:p>
Rubrique : Afrique centrale
Source : La résistance cabindaise FLEC
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S'inscrire au groupe Africdossier Visiter ce groupe <o:p> « VOIR IMAGE DU COMMANDANT MAYMONA ABBATU »</o:p>
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